Voyage aux Philippines
Nouakchott le 14 février
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Nous n’avons que peu de kilomètres à effectuer aujourd’hui, mais un passage de frontière et une piste de 100kms .
La frontière se passe sans incident, mais la piste que nous connaissons déjà pour l’avoir faite l’an passé est trés différente. Avec la grosse averse de l’autre nuit,la piste est restée fermée jusqu’à aujourd’hui. Nous sommes donc les premiers à l’empreinter et effectivement il y a des passages délicats voir pénible.
Nous passons donc plus de temps que prévu mais personne ne s’est embourbé !!!!
Nous arrivons à l’auberge chez Olivia vers 20h, bien fatigués.
Malheureusement les freins ne marchent pas encore correctement, si JC à une journée a perdre je lui donne rendez vous ici à Nouakchott pour un cour de mécanique!!! il ne nous reste que 4000 km pour rentrer.
St Louis le 12 Février
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| La route de l'enfer... sur 200 Km |
Par rapport à la bilharziose, j’ai dû mal m’exprimer,car au jour d’aujourd’hui, personne n’est atteints. Merci d’être si nombreux à s’inquiéter pour nous.
Nous avons eu malgré tout quelques petits problèmes, non pas de santé mais de mécanique.Le matin en quittant notre emplacement sur la plage, à nouveau les freins nous font défaut. Là , il nous faut trouver une solution pour pouvoir rentrer. Une nouvelle durite nous a lâché, la mauvaise route en est sûrement responsable.Nous arrivons à nous dépanner par nous-même, mais le problème est plus grave et la réparation de Bob n’a été efficace que jusqu’à maintenant. Nous prenons la route quand même en direction du nord. Nous commençons à ressentir la fatigue, le stress des freins et l’inévitable remontée vers la France et donc la fin du voyage. Julien est obligé de s’arrêter régulièrement à cause des plaquettes qui restent collées et qui chauffent. Nous roulons comme ça jusqu’à Louga,(environ 70kms). Nous mangeons un mafé , une bonne douche et au lit ! Le lendemain nous reprenons la route jusqu’à St Louis.
Nous venons d’avoir des nouvelles de nos amis, qui nous retrouverons ici demain. Nous cherchons à faire prolonger le passe avant qui se termine le 13,et en cherchant le bureau des douanes nous passons devant un garage Peugeot (deux en Afrique , un à st louis et un à Dakar!!)! On s’y arrête et l’on demande s’il est possible de commander un maître-cylindre de frein, ce qui pourrait résoudre nos problèmes. En effet,c’est possible et la pièce sera là dès demain matin !!!Incroyable !Notre passage sur St louis nous sauve !
La température se rafraîchi drôlement. On dirait même qu’il va pleuvoir ! Un comble ! Pourtant c’est ce qu’il arriva. Une pluie comme nous n’en avions jamais vu en Afrique. Toute la nuit, une pluie diluvienne accompagnée d’éclairs et de tonnerre, cela nous donne un petit gout de la saison des pluies ici, et le lendemain grand beau.
Dès le lendemain, nous filons au garage et notre pièce est arrivée comme prévu.
Nos amis nous rejoignent vers 12h30, nous déjeunons ensemble, puis Julien installe sa pièce dans le moteur et après vérification, nous avons à nouveau des freins. Nous repartirons certainement demain pour la Mauritanie...
Commentaires textes : Écrire
Saly le 10 fevrier
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| P1040293 |
http://www.coeurs-metis.org
Il vaut mieux encourager des initiatives comme celle ci ...
Encore quelques photos et une vidéo de l'école
Pour la bilharzioses, tout va bien pas de maladie en vue pour le moment.
Merci à nos docteurs en ligne c'est bon de se savoir en sécurité même au bout du monde.
Saly le 10 fevrier
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Le lendemain matin, après une longue grâce matinée de Tom, nous partons visiter les cascades de Ségou. 30 kms de mauvaises pistes, à travers la brousse. Il nous faudra plus de deux heures trente pour y arriver. Nous devons encore marcher environ 2 kms pour arriver aux cascades. Le lieu est magnifique, mais l’eau est glacée. Seuls Tom et Julien se baignent. Nous y restons un moment,afin de se remettre de la piste,et de se rafraîchir .Puis ,la faim nous tenaille alors , nous retournons .
Sur le chemin du retour nous prenons trois auto-stoppeurs,qui ferrons le trajets avec nous.
Nous arrivons chez Muriel, vers 17h et aussi tôt nous repartons sur la route pour essayer d’aller voir les hippopotames, avec les enfants. C’est une chance incroyable !!!!Ils sont là, a quelques mètres de nous, immobiles , en famille. Nous réalisons plus que les enfants de cette chance. Ces journées sont toutes plus épuisantes les unes que les autres et le soir nous ne tardons pas à nous endormir. Ces trois jours chez Muriel et Damien ,nous ont vraiment fait du bien, comme une pause au milieu d’une course !!!Nous les en remercions énormément.
Le lendemain,nous devons partir, mais le départ est difficile…Nous devons affronter aujourd’hui,la route de l’enfer. 280kms d’une route qui n’en est plus une.. Plus de trous que de goudron. Il nous faut parfois presque s’arrêter pour passer entre les pièges !!!Le tout, sous une température de plus de 40°. Nous ne réussirons pas à faire la route de Kédougou à M’bour dans la journée et nous devons faire halte à Koupentoum, pour passer la nuit. Nous dormons peu, nous sommes garé devant la gendarmerie et la route est bruyante. Dans la nuit, Manon vomie son repas du soir, certainement trop riche (un maffé trop gras).
C’est donc le lendemain vers 18h que nous arrivons à M’bour, à quelque km de Dakar.
Nous réussissons à nous installer au bord de la mer, pour passer la nuit, après avoir manger des brochettes de lotte délicieuses chez « l’homme tranquille ».
Le lendemain nous décidons de passer la journée en bord de mer. Les enfants sont fatigués et nous aussi. Ici nous avons moins chaud grâce à la brise et nous pouvons à nouveau dormir,les portes fermées !!!! Journée baignade, sieste et château de sable.
Lire les commentaires textes
coucou !
un si long voyage résumé en quelques pages... C'est quand le diaporama complet ?
ceci dit profitez bien des derniers instants, et ne rentrez pas trop vite, le retour fait partie du voyage.
Ici les choses changent... On a du "haut débit" dans Païolive, de la neige plein nos montagnes, des fleurs sur certains arbres,
bientôt plus de pub à la télé,
mais nos écoliers debouts pendant l'hymne...
Et j'en passe
Profitez profitez
faites le pour nous
parceque si vous avez autant de visites, msn, commentaires, c'est bien que nous sommes devant l'ordi, et avec des freins !
gros bisou, à tous les lecteurs aussi
Enfin j'ai un peu de temps pour vous lire et profiter, grâce à votre blog, de votre voyage ! Que dire si ce n'est que cela fait envie !
Gros bisous à tous les quatre.
Patrice.
J'avais dit à Peter de se retenir de jouer de la trompette le jour de l'anniversaire de Julien, voir les résutats sur la dernière photo de papé (à propos grosses bises). Puisse-t-il soufler dans le maître cylindre pour vous permettre de rentrer en toute sécurité.
Alors bon retour et bonne route.
Bien affectueuesement à tous.
Cyrille.
4000 km, une paille, à peine le dixième du tour de la terre. Allez, forza, les voyages forment les mécaniciens!
Ici tout baigne, ce jour retour à Phnom Penh. a+ papé
zut pour les freins, j'espère au moins que le klaxon marche ! c'est tout ce dont ils se servent ici, pas besoins de freins !!!
bon on n'a quand même pas fini de s'inquiéter...
gros bisous aux doudoux... de vrai anges quand ils dorment !
bisous à vous deux
mamé
bon je vous lis… bravo pour le camion qui se réjouit de ses nouveaux freins. je me demandais si vous passiez à Dakar mais du coup je crois que non. je vais revoir ma carte. St Louis c'est comment ? Vous voilà déjà à Nouakchott…
Bonne route mes amis chers
mes pensées sont là sur la route du retour
mais oui cherchez au fond de votre poche
je vous embrasse bien ts quatre
kris