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Voyage aux Philippines

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Au programme cette année, 15 jours de voyage aux Philippines en amoureux sans enfants. Merci aux grands parents!!!

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Voyage aux Philippines

Le 15 janvier au Benin

Le croco Les Hippos Une gazelle pleine de poussiere

Le croco
Le croco 
Arrivés à la frontière, les formalités sont rapide, malgré les douaniers qui aiment prendre leur temps, à discuter.
Le soir nous arrivons de nuit (hum hum !!!!) à Tanguièta, à côté du bureau du parc. Nous dînons de pâte de riz-sauce , un peu épicé mais très bon, et nous nous couchons, car demain la piste nous attend .
Après une nuit tranquille, et les enfants de bonne humeur, nous nous mettons en route. La température matinale est déjà élevée et présage une canicule africaine pour l’après-midi.
La piste de latérite commence à la sortie du village. Sur le chemin , à environ trente kilomètres, se trouve une cascade …une pause s’impose !
Ju et les enfants se baignent avec bonheur dans une eau claire et rafraîchissante.Pas de biarziose en vue !!

 

Le 14 janvier a Ouaga

Le marché de Ouga Cours de voltige au cheval Mandingue La cascade de Tatingou

Le marché de Ouga
Le marché de Ouga 
Le lendemain, nous repartons en ville , en taxi, à causes des problèmes de circulation. Nous visitons le grand marché de Ouaga. C’est un marché odorant, coloré, et parfumé. Ici comme beaucoup d’endroit en Afrique, les ingrédients se vendent à l’unité, ou en tout petit sachet, sucre ,farine , bouillon cube, cigarettes, etc.…ce qui donne des étalages très colorés. En fin d’après midi nous partons tous ensemble au centre d’équitation, au cheval Mandingue, faire une ballade à cheval, en brousse. Tous même moi, monterons….
Le lendemain matin, nous reprenons la route, pour arriver enfin au parc de la Penjari, but de notre voyage. La plus grosse partie du parc se trouve au Bénin, nous partons donc pour le Bénin. La route est bonne mais longue, entrecoupée de barrages de douane, gendarmerie, police, villages, moutons, chèvres, poules….

 

Ouaga le 11 janvier

Les nettoyeurs... Reccord battu!! Le marché de Ouahigouya Manon fait son marché Bientôt la frontière

Les nettoyeurs...
Les nettoyeurs... 
Arrivés à Ouagadougou, nous appelons les amis de Muriel, que nous ne connaissons pas encore . Le contact est pris ,nous nous donnons rendez vous en fin d’après midi.
 Nous les retrouvons puis nous les suivons jusqu’à chez eux. 
Il y a Mouhna, la maman de Kirikou( c’est elle qui à fait la voix de la maman de kirikou, dans le dessin animé),son mari  et leurs enfants Nicolas et Leila  .Il y a aussi Noki, le perroquet gris du Gabon, et Bambi, la brebis. La soirée s’écoule tranquillement en buvant de la bière bien fraîche.
Le lendemain il nous faut aller à la Sureté de la ville pour faire prolonger nos visas qui n’ont qu’une durée d’une semaine.
En arrivant devant le bâtiment, nous retrouvons Didier et Sylvie qui sont là pour prendre des visas aussi .Nous ne récupèrerons nos passeports que le lendemain .
Nous faisons quelques emplettes  ,visitons plusieurs endroits, déjeunons un bon steak au roquefort (si si sans blague !!) puis revenons à la maison.
    Nous profitons de la connexion de la maison pour passer du temps sur Internet.
Une conversation skype avec une amie, un msn avec Brice, bref, le progrès c’est génial….

 

Ouaga le 11 janvier

C'est beau...!!! Sur le Niger a Mopti Le petit touareg Casque en calbasse

C'est beau...!!!
C'est beau...!!! 
 Nous arrivons dans la première grande ville après la douane, Ouahigouya.
La ville nous semble d’emblé sympathique  et l’atmosphère sereine. Un jeune homme vient à notre rencontre à la station service. Il nous proposera un endroit pour dormir au calme, près d’un restaurant. C’est calme et nous ne serons pas difficiles, car nous sommes épuisés par la  piste .La latérite a  envahi l’habitacle du camion. Une fine poussière rouge brique, s’est déposée dans chaque recoins, et nous  ne sommes pas épargnés.Nous devons donc faire le ménage avant de commencer à nous laver.
Nous dînons, nous nous douchons et nous nous couchons !Ouf !
La journée de diète à du faire du bien à Tom, le voilà rétabli. Le jeune homme d’hier soir est là ,à notre réveil, prêt à nous faire visiter le marché.
Le marché est très agréable ,à sentir, à regarder. Les étalages sont plus remplis, les allées plus propres et les prix, moins chers qu’au Mali.
  Nous passons un bon moment avec notre nouvel ami, nous prenons mutuellement nos coordonnées puis nous nous quittons.
Nous partons pour Ouagadougou  .
Déjà 3 semaines de voyage et quelques 6000kms sont passées.

 

Ouagadougou, le 11 Janvier

A l'ombre de la termitière Le port de Mopti

A l'ombre de la termitière
A l'ombre de la termitière 
Ouagadougou, le 11 Janvier

A lire les messages , il fait vraiment froid en France !!! Ici nous ressentons à peine la vague de froid ! Nous avons quand même ressortis les polaires ,l’autre soir !!!
Ah oui, encore un grand merci à Didier et Sylvie , sans qui les messages du blog auraient peut être fini par ne plus exister.
Nous avons donc quitté Bamako, en direction de Ségou, environ 240 kms de bonne route.
Nous passerons la nuit , au même endroit que l’année dernière, le long du fleuve Niger.
 Le lendemain, nous reprenons la route pour aller jusqu’à Mopti, encore 500kms.

Arrivés à Mopti nous retournons directement chez Bob ,pour aller lui dire bonjour.  Il est ravi de nous voir ,et il nous remercie d’être revenu ,et du colis que nous lui avons envoyé.
Nous allons nous promener, à pied, le long du Niger, au coucher du soleil.
   Pour passer la nuit nous allons à l’hôtel  « y a pas de problème », qui nous autorise à rester garé devant et à passer la nuit dans le camion. Cette nuit, c’est au tour de Tom de rendre son dîner !!! Nettoyage, lessive …..
Le lendemain, en quittant Mopti, nous partons dire au revoir à Bob, qui nous fait cadeaux de collier et de sandales en cuir pour les enfants.
Nous prenons le chemin de Bandiagara et du pays Dogon que nous avons visité l’an dernier.
A partir de ce village nous quittons le goudron, et nous ne le retrouverons que 160 kms plus tard.
   C’est sur cette même piste que nous passerons la frontière du Burkina.
N’ayant pas de visa pour entrer au pays,il nous faut le faire sur place . Pas de problème, les papiers sont vite remplis et les tampons vite frappés sur nos passeports.
    Nous voici donc au Burkina, littéralement, au pays des hommes intègres.

 

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